Conseils et témoignages sur le SOPK

Le syndrome d´ovaire polykystiques est un phénomène très fréquent sur tout ces jours-ci, voici quelques témoignages et histoires qui contiens certains informations et conseils utiles

Remarque : toutes les histoires raconté ici sont réel sauf que les noms mentionnés ne correspondent pas aux personnes suggérées . Ils ont été remplacés par des pseudonymes éloignés des noms authentiques afin de préserver la confidentialité.

Témoignage du Lily , une jeune étudiante âgée de 21 ans atteinte du syndrome d’ovaires polykystique :

J’ai été diagnostiquée avec le syndrome d’ovaires polykystiques il y a plusieurs années, précisément à l’âge de 15 ans. J’ai eu mes premières règles à 13 ans, mais j’ai rapidement remarqué que toutes mes amies du même âge avaient un cycle menstruel régulier, prévisible chaque mois. Elles savaient toutes quand leurs règles allaient arriver, alors que pour moi, ce n’était pas du tout le cas. En effet, il s’est écoulé plus de 5 mois avant que j’aie mes deuxièmes règles !À l’époque, j’étais très timide et je n’osais pas parler de ce problème à ma mère ni à personne d’autre. Je me souviens avoir confié cela à une amie qui, étonnée, m’avait dit : « Peut-être que ton cycle est juste plus long, c’est normal. » Ses paroles m’avaient temporairement rassurée et m’avaient poussée à négliger davantage la situation.La situation a continué ainsi : parfois, mes règles revenaient après plusieurs mois, parfois après seulement quelques jours. Elles étaient tantôt très abondantes, tantôt presque inexistantes. Leur durée variait également : elles pouvaient durer jusqu’à 10 jours ou, au contraire, ne pas dépasser 3 jours.J’ai commencé à m’inquiéter le jour où, par hasard, j’ai lu un article médical qui parlait d’une femme ayant réussi à concevoir après avoir complètement perdu ses règles. Je me suis dit : « Peut-être que je ne pourrai plus avoir d’enfants. Je dois consulter un médecin ! Après avoir rassemblé un peu de courage, j’en ai parlé à ma tante, qui m’a immédiatement conseillé de consulter un médecin. Heureusement, lors d’un examen médical de routine à l’école, j’ai pu expliquer ma situation à la médecin scolaire. Elle a compris mon cas ainsi que mon jeune âge, et elle m’a rédigé une lettre confidentielle destinée à une gynécologue spécialisée.Deux jours plus tard, mon père m’a emmenée chez une médecin généraliste, qui a confirmé que je présentais un syndrome des ovaires polykystiques. Par la suite, j’ai été prise en charge par une gynécologue spécialisée, et c’est ainsi que mon parcours avec le syndrome des ovaires polykystiques a commencé.La gynécologue me donne toujours des traitements hormonaux comme les pilules et les estrogènes avec de période du repos, et elle me conseillé d’avoir un mode du vie sain avec alimentation saine et le travail physique et cella vraiment m’aider a diminué les symptômes convient de ce syndrôme sur tout au côté psychopathologique. Alors mes conseils pour toute les femmes et filles: n’hésitez pas de consulter un médecin si vous avez n’importe quelle anomalie ou problèmes concerne a votre cycle menstruel, arrête d’être timide devant les choses inclus a votre santé ! C’est une chose normal , c’est une physiopathologie, c’est une maladie peut être, alors il n’y a aucun raison d’être timide devant ! Et bien sur le dernier conseil c’est d’avoir un mode du vie sain dés maintenant ! Même si vous n’avez aucun problème, mais cela pour la prévention par ce que tu peut être touché par ce syndrôme a tout moment.

Lily 21ans

témoignage de Djamila âge de 36ans femme au foyer

J’ai été diagnostiquée pour la première fois à l’âge de 24 ans lors d’un examen prénuptial. La gynécologue m’a alors informée que je souffrais du syndrome des ovaires polykystiques.

Auparavant, j’avais des cycles menstruels longs, mais cela ne m’inquiétait pas vraiment, car on m’avait dit que la durée du cycle variait d’une femme à l’autre, et j’avais fini par m’y habituer. La pilosité excessive m’a également affectée, mais je pensais que c’était héréditaire, car certaines femmes de ma famille en souffraient aussi.

Sur le plan psychologique, j’ai vécu des périodes d’isolement et de dépression. J’étais épuisée par les régimes alimentaires restrictifs qui me privaient de plats que j’aimais. J’ai essayé un traitement hormonal, mais sans succès. Finalement, je me suis tournée vers la médecine alternative et j’ai testé l’infusion de marjolaine, qui a aidé à réguler mon cycle.

Aujourd’hui, après six ans d’infertilité, je suis maman de deux enfants.Mon conseil aux femmes est de ne jamais cesser de prier et de faire preuve de patience. Il est essentiel d’adopter un mode de vie sain et de renoncer à certaines envies alimentaires pour préserver sa santé.

Djamila 36ans

Ryna jeunne etudiante du 18ans

Un jour, je suis allée à l’hôpital à cause d’une douleur intense aux reins. Lors de l’échographie, on a également découvert que je souffrais du syndrome des ovaires polykystiques. C’est ainsi que mon parcours a commencé il y a quelques mois.

J’ai toujours eu des problèmes d’acné et un léger duvet sur les joues. Mon état émotionnel était très instable. La gynécologue m’a prescrit un traitement hormonal, mais je ne l’ai pas pris, préférant me concentrer sur une alimentation saine en espérant que cela m’apporterait du bien.

Je souhaite un prompt rétablissement à toutes celles qui traversent la même épreuve.

Ryna 18ans

Sarah jeunne fille du 19ans

Il y a environ un an, alors que j’avais 18 ans, mes règles ont disparu pendant trois mois. Inquiète, j’ai consulté une gynécologue qui, après examen, m’a diagnostiquée avec le syndrome des ovaires polykystiques.

Pendant cette période, je me sentais constamment épuisée, apathique et sujette à la dépression. Ma peau était également un véritable défi : des poussées d’acné persistantes couvraient mon visage, mes épaules et mon dos, sans qu’aucun soin ne parvienne à les atténuer.

La gynécologue m’a prescrit un traitement hormonal à base de progestérone, et depuis, j’ai constaté une nette amélioration de mon état.

sarah 19ans